Trop tard, les avions lâchent leur métal ardent,
La ville brûle, je n'ai nulle part où aller
Mon amour s'en est allé parmi les flamboyants
Le condamné à mort a toujours tort.
La ville brûle, je n'ai nulle part où aller
La terre sous mes pas gronde,
Mon amour s'en est allé parmi les flamboyants
L'ange noir annonce la fin de la beauté.
La terre sous mes pas gronde,
D'étranges désastres, plongées astrales
L'ange noir annonce la fin de la beauté
Parmi ces magnifiques couchers de soleil.
D'étranges désastres, plongées astrales,
Les douces couleurs de l'orient
Parmi ces magnifiques couchers de soleil,
Révèlent de splendides levées d'armes.
Le condamné à mort a toujours tort
J'aurai tant voulu caresser tes lèvres
Rompre la glace des champs magnétiques
Trop tard, les avions lâchent leur métal ardent.
©2009 Marwan Elkhoury
Lettre A Pierre
3 weeks ago
No comments:
Post a Comment