En hommage à Cioran et à ses aphorismes, je dirais que "j'assiste, terrifié, à la montée de ma haine des hommes, au resserrement du dernier lien qui m'unit encore à eux, au moment même où je voulais m'en détacher". Cioran avait écrit quelque part "J'assiste, terrifié, à la diminution de ma haine des hommes, au relâchement du dernier lien qui m'unissait à eux", Cioran, in Syllogismes de l'amertume.